Je connais ce souffrir de tout qui donne bouche de tourment
Amère comme aubépine
A tous les mots à tous les cris à tous les pas les errements
Où l'âme un moment se devine
Pablo mon ami nous sommes les gens de ce siècle incertain Ou rien ne tient ni les toitures Et quand sur la hauteur nous croyons, voir se lever le matin C’est un phare au loin de voiture
Nous sommes les gens de la nuit qui portons le soleil en nous
Il
nous brûle au profond de l'être
Nous avons marché dans le noir a ne plus sentir nos genoux
Sans atteindre le monde à naitre
Pablo mon ami le temps passe et déjà s'effacent nos voix
On n'entend plus même un cœur battre
Tout n'était-il que ce qu'il fut tout n'était-il que ce qu'on voit
Tout n'était-il que ce théâtre
Peut-on vraiment se contenter de la couleur de cruauté Ou vivre semble au mieux survivre Ou nous aurons au mieux été des enchanteurs désechantés D’avoir chanté pour or le cuivre
Pablo mon ami qu'avons-nous permis
L'ombre devant nous s'allonge s'allonge
Qu'avons-nous permis Pablo mon ami
Pablo mon ami nos songes nos songes
Nous sommes les gens de la nuit qui portons le soleil en nous
Il
nous brûle au profond de l'être
Nous avons marché dans le noir a ne plus sentir nos genoux
Sans atteindre le monde à naitre
Pablo mon ami le temps passe et déjà s'effacent nos voix
On n'entend plus même un cœur battre
Tout n'était-il que ce qu'il fut tout n'était-il que ce qu'on voit
Tout n'était-il que ce théâtre
Peut-on vraiment se contenter de la couleur de cruauté Ou vivre semble au mieux survivre Ou nous aurons au mieux été enchanteurs désechantés D’avoir chanté pour or le cuivre
Pablo mon ami qu'avons-nous permis
L'ombre devant nous s'allonge s'allonge
Qu'avons-nous permis Pablo mon ami
Pablo mon ami nos songes nos songes